« J’ai résolu de continuer ce journal parce qu’une relation sincère, scrupuleusement exacte des événements de ma vie, au cours de l’épreuve que je traverse, peut m’être utile un jour – qui sait ? utile à moi, ou à d’autres. Car alors que mon cœur est devenu si dur, je ne puis penser sans amitié au futur lecteur, probablement imaginaire, de ce journal… »
« J’ai décidé ce matin de ne pas prolonger l’expérience au-delà des douze mois qui vont suivre. Au 25 novembre prochain, je mettrai ces feuilles au feu, je tâcherai de les oublier. Cette résolution prise après la messe ne m’a rassuré qu’un moment. »